Les insultes visant « le sacré » des Musulmans en Tunisie se font de plus en plus dangereuses et menacent désormais la paix et l’unité même de la société Tunisienne et les acquis révolutionnaires. On se rappelle tous, la violence, les émeutes et clashes que les fameux tableaux de l’Ebdelléa. La sensitivité populaire aigu visa vis des œuvres « blasphèmes » et le potentiel du dérapages en Tunisie est donc un fait clair à tous. Ce danger s’accentue et devient encore plus menaçant à l’approche des élections législatives. Dans cette période l’activité des cellules RCDistes pourrait se faire sentir surtout que la façade politique MAT de Bégi Caid Essebsi est prête à jouir des fruits politiques de tout dérapage. Il est donc impératif, pour immuniser le processus révolutionnaire que les acteurs politiques trouvent des solutions pouvant prévenir un tel dérapage.
Mais la discussion sur le sujet d’une loi « protégeant le sacré » se trouve brouillée par le dénigrement politique et contrasté, injustement, avec les libertés individuelles. Donc, pour traiter le sujet, il est nécessaire de l’aborder en parlant du principe même de la loi de « protection du sacré ». Après, dans un deuxième lieu, il faudrait parler de la méthode et la manière d’application tout en procurant « l’alternative » garantissant la protection et les libertés en même temps. Ceci est possible et je m’engage à le prouver.
Commençant par la voie la plus facile : démontrer l’absurdité de certain arguments portant sur la futilité de l’adoption de loi de protection du sacré. L’argument le plus diffus entre les opposants est que le divin n’a pas besoin de protection humaine. Mais, logiquement, cela est refuté parce que le Coran par exemple, est un ensemble de mots est de phrase contenu dans un livre matériel. Le sacré en effet, n’est pas seulement une présence abstraite ayant un armé de martien le gardant. Ce que l’on fait avec le Coran, est une responsabilité totalement humaine. Cet argument comporte notamment une perfidie entendue par ses auteurs : l’illusion que la protection du sacré est voulue pour protéger le sacré en lui-même alors qu’elle ne porte que sur nous. En bref nous nous protégeons en adoptant une telle mesure est ce n’est pas l’inverse.
Alors, posant cette question : quelle différence y aurait-il entre sacré est autre si l’acte de vénération n’était pas présent ? Tous groupement ou organisation humaine se crée des repaires est des éléments vénérés avec lesquelles le groupe est l’individu s’identifient. Même les régimes séculaires, dans le sens traditionnel du terme, crée leur « sacré » sous autre forme tels les hymnes, les statues et les célébrations. Ces régimes protègent l’unité intérieure en défendant ces éléments contre toute agression et peuvent même en arriver à la violence contre toute profanation. Le peuple Tunisien, différemment au français par exemple, se dit, avec une majorité absolue presque, vénérer ses convictions, objets et autres élément Islamique sacrés. Logiquement donc, la société Tunisienne se doit de crér les mécanismes protégeant le sacré. Si l’on constate aussi que la pression sociale en elle-même n’est plus capable d’accomplir cette fin, la présence d’un cadre juridique est indispensable. La question est sur la méthode à choisir pour nous protéger des abus portant sur le sacré sans pour autant mettre en danger les acquis révolutionnaires en terme de liberté d’expression.
Personnellement, je pense que le projet de loi « protégeant le sacré » qui est présenté maintenant, même si il criminalise les atteintes à la religion, ne traite pas les challenges culturels et artistiques du sujet.
La production artistique Tunisienne reste un produit de la dictature par excellence. La révolution, n’a pas créé jusqu’à maintenant des modes d’expression et des thèmes libérés et révolutionnaires comme il se passe en Syrie par exemple (visitez la page fb « Syrain revolution arts » pour un aperçu). Est due à l’échec continu, les artistes monopolisant la scène depuis le règne de Ben Ali, cherchent le vedettariat par le moins d’insultes contre la religion. Cette tendance est proliférée au sein des artistes même que le syndicat des artistes plasticiens défendaient les œuvres de l’Ebdellia !
Mais la scène artistique Tunisienne n’a pas besoin de censurer les artistes monopolisant. Cela les incitera à continuer à polluer les esprits mais implicitement et cela est encore plus dangereux. Il vaudrait mieux chercher un mécanisme leur laissant la voie libre tout en procurant un alternatif artistique aux Tunisiens. La création de cet alternatif artistique proposant aux Tunisiens un art les représentant, un art qui leur est adressé et surtout un art qui les respecte, ne peut se faire par le moyen de censure. on a pas besoin d’interdiction mais plutôt d’induction en Tunisie :
Tout pays se disant développé possède des mécanismes d’identification de l’âge approprié à chaque production artistique. Les autorités Tunisienne doivent créer et maintenir un tel système en Tunisie. Toutes exhibitions et les films par exemples devrait porter une indication de l’âge convenable du spectateur et autre normes. Les œuvres portant des insultes à la religion ou un contenu pornographique auraient une indication de mise en garde. Les productions ayant cette mise en garde devraient être interdites aux enfants, dans les milieux scolaires et exclues des programmes de promotion artistique utilisant des fonds public. Dans la présence d’une telle indication sur la porte d’une exposition par exemple mais la responsabilité complète sur le spectateur qui n’aura qu’à bien choisir le genre d’art qu’il veut voire. En parallèle, des programmes de subvention publique devraient être établis pour promouvoir les productions artistiques convenables à un public divers. Cela procurerait une motivation supplémentaire aux artistes pour augmenter leur production révolutionnaire et visant le grand public et non les cercles fermés.
Le monopole artistique par une élite se disant plus cultivée que le reste des Tunisiens doit être combattue. Cependant l’art révolutionnaire, Tunisien et inclusive, doit être supporté et séparé de l’art corrompu de la dictature de Ben Ali.
Bonjour,
Je ne sais pas si ce texte a été écrit en français ou traduit, mais le nombre de fautes et leur gravité en rendent la lecture pénible et on en oublie de s’attacher au sens.
C’est dommage…
Auparavant, je pouvais corriger les fautes après la publication. J’ai donc pensai qu’une deuxième lecture ne serai pas nécessaire et je m’en excuse. Néanmoins, je pense que le texte n’a pas perdu son sens et que les fautes ne sont pas aussi graves que ça. Cependant merci et je tacherai d’être plus exacte la prochaine fois.
cher auteur, c’était un plaisir de vous lire, cependant lorsque l’on fait la démarche d’écrire un article, la rigueur et donc le respect de l’ortographe et de la syntaxe sont impératives ; même “si elles ne sont pas si grave”! D’ailleurs votre commentaire m’a donné l’envie impulsive d’analyser ce bribe de phrase o combien futile et donc “pas si grave”! Car ce “pas si grave” que vous assumez en le publiant en commentaire reflète parfaitement le grand mal de la Tunisie qu’est le laxisme et qui de ce fait entraîne des circonstance aggravantes si l’on suit le raisonnement des causes et des conséquences!(aussi bien dans le domaine politique, économique, social et qui empêche la Tunisie de se hisser au rang des pays dit “développé et d’être considéré comme tel) Car oui pour un journaliste une faute de syntaxe/d’orthographe n’est en somme pas si grave dans la forme, mais dans le fond elle nuit à la crédibilité de votre article (qui semble être de qualité sois dit en passant!)Ce que je veux dire par là est que si pour un journaliste la faute syntaxique n’est pas si grave et si tout le monde laisse passer ce genre d’erreur lié à son corps de métier (où l’on est censé être irréprochable), il serait tout aussi peu important qu’une personnalité politique ne soit pas à l’écoute de son peuple ( oui ça aussi n’est pas si grave!)
N.B Cher auteur sachez que même si mon commentaire peut vous sembler quelque peu agressif, il n’en est rien de ma démarche qui se veut bienveillante à votre égard! Car quelques erreurs individuelles portent atteinte à grande échelle au salut de notre chère et tendre Tunisie!
Chère madame Youma,
Je m’ecuze bico, mais j’ai relevé au moins 3 chti ( je mets un s ou pas à chti ?) fautes dans votre commentaire :
– « si elles ne sont pas si grave» ——– (graveS)
– «des circonstance aggravantes» ——— ça nous arrive… à tousse ( pardon )
– « au rang des pays dit “développé» ———– Là, j’éternue !
– «qui semble être de qualité sois dit en passant!» ——— – – – sois (?) avec un thé s’eut été plus soyeux…
Ne parlons même pas de la ponctuation, c’est sa sieste – Chut
À mon tour, j’ai du faire au moins 2 groβ fautes ;-))))))))
pour défendre le sacré, je propose de commencer par interdire les bouquins de Bukhari, Muslim et autres receuils de mensonges et de conneries sur le prophète.
Pour ceux qui veulent voir comment la charia et les hadiths plongent l’islam et le prophète dans la merde (sens propre et non figuré), je recommande ma compil spécial pipi et caca dans ce lien:
http://nawaat.org/portail/2012/08/01/tunise-une-crise-morale#comment-76495
Que pense M Arfaoui de ma proposition.
Libérons le sacré des scatos!
Merci pot votre proposition Mr. Cependant je suis chagriné de vous avouer que vous été encore une fois en dehors du sujet.
Oui. Mais voici une facon de voir la chose sous un autre angle :-)
Est-ce que le prophète (paix soit sur lui) est sacré (c’est-à-dire déifié), pour que l’on puisse que le louer ? Et pourtant des livres comme Saheeh et Al Boukhari, et Attabari, pour ne citer que 2 des plus célèbres parmi des dizaines, qui sont les références de la Sounna, contiennent de très nombreux passages qui relatent , avec menu détails, le côté humain du prophète (pas le prophète rendu dieu ou demi-dieu par le zèle des fanatiques) mais le prophète, l’humain, avec ses erreurs et ses défauts.
Ces faits de l’histoire étaient très connus et souvent discutés parmi les musulmans depuis 15 siècles, et personne n’a jamais pensé que parler de ce côté-là du prophète pourrait diminuer en quoi que ce soit de la grandeur de la religion de l’Islam.
Sauf que plus récemment, surtout en ce 21eme siècle, avec le retour de la nouvelle vague de fanatiques (new wave et new look), d’ennahdha et des autres variantes de salafistes de tout poil ( !) qui ne sont pas très sure de leur conviction religieuse, cherchent à tirer un rideau opaque entre la grande masse des musulmans, et les plus éduqués parmi eux d’une part, et notre histoire religieuse de l’autre. Ne laissant ainsi apparaitre que ce qui plait à leur interprétation de la religion et de notre histoire. Ils ont appelé ce rideau ’le sacré’ et ont cherché à imposer aux autres, souvent par la violence, de ne pas chercher à voir ce qu’il y a derrière le rideau du sacré. Mais il n’y a rien de sacré à propos de faits historiques, car ce sont des faits historiques bien établis. Les humains curieux par nature, vont toujours chercher à regarder derrière le rideau.
S’ils ont tant de mal à s’accommoder avec les faits historiques, il devrait plutôt réécrire les sources de la Sounna, ou peut être organisé un autodafé et en bruler les 9 dixièmes.
Mais personne ne sait ce qui est sacré et ce qui ne l’est pas, et la liste s’allonge au gré de leur humeur du jour.
Est-ce que toucher au sacré que d’évoquer ce qui est relaté dans les livres de la Sounna, comme par exemple :
– le fait que le prophète avait 9 femmes officielles (licites, halal), deux concubines, et un grand nombre d’amas (jawari) comme celles qui étaient enlevées de leur tribus lors de ses nombreuses razzias (expéditions) contre ses ennemis.
– Ou le fait qu’il y avait des scènes de ménage parmi les épouses du prophète (salla allahu alaihi wa sallam), souvent due à la jalousie de Aicha, Om Al Mu ‘minéen, des autres femmes bien plus jeunes qu’elle. Il est à rappeler que Aicha était la première épouse du prophète et qu’elle avait 15 ans de plus que lui.
Où est le mal en cela ?
Tout récemment, Cheik Mourou, un fondateur modèré d’Ennahdha, s’est fait attaqué et blessé (5 points de suture à l’urgence) par un fanatique décervelé, qui n’était pas content que quelqu’un d’autre que Mr. Mourou ait dit quelque chose sur cette Aicha qui est morte et enterrée depuis 15 siècles.
Disons simplement à ces fanatiques qui appartiennent à un siècle qui n’est pas notre 21eme, qu’ils ne peuvent pas stopper la curiosité que les humains ont développé plus que le reste du règne animal, d’après l’évolution (eh oui on descend tous du même arbre, nous avons fait un grand chemin pendant que vous, vous êtes restés pétrifiés), et qui est, la curiosité, le moteur inné qui nous pousse à faire des découvertes… ce n’est pas pour rien qu’il y a deux jours, le plus grand rover de la NASA a réussi à atterrir sur la planète Mars (المريخ), dans la plus héroïque aventure humaine en dehors du système Terre-Lune, s’appelle curiosité.
Alors que les autres nations donnent libre cours à leur imagination et créativité et excellent dans la création de ce qui rend la vie agréable (comme la voiture, le iPhone, l’Internet, …) ou bien à la recherche des éléments de la vie et de son origine (entre-autres, par les vols interplanétaires, comme celui de Curiosité) …. Nous, depuis surtout l’arrivée de Ghannouchi et ses hordes sauvages, notre seul débat du matin au soir a été : le hijab, le nikab, al 3adhab, al 3ikab. Pauvres de nous – nous allons être pétrifiés comme eux – si on ne dégage pas ces cons au plus vite.
Sur ce sujet, la chronique radio : “Aux artistes tunisiens”
http://www.lapetiteradio.org/spip/IMG/mp3/Benoit-Salafisme_artistique.mp3
Un art alternatif pourrait être aussi à chercher dans des pratiques d’éducation populaire, grand projet en France à la libération qui fut sabordé au profit de l’art contemporain. Voir le spectacle de Frank Lepage “L’éducation populaire, ils n’en ont pas voulu” : http://www.scoplepave.org/la-culture
Encore un article TRES orienté !! Il me semblait
au départ,que ce site se voulait “révolutionnaire”…..
Mais il est entrain de devenir une tribune pour
les religieux radicaux !
C’est dommage……RIEN N’EST “SACRE” !
Moi, la seule question que je me pose c’est de savoir pourquoi Bouazizi est mort , pourquoi tout un peuple s’est reconnu dans les conditions qui ont entrainé sa mort et s’est révolté. Qu’est-ce qui dans ces discussions et dans les préoccupations du pouvoir (blasphème, sacré, place de l’Art, “complémentarité” de la femme (dans quelles proportions au fait ?) qu’est-ce qui donc apporte une réponse à la tragédie de Bouazizi ?
Et à tous ceux qui se sont reconnus en lui.
Sauf à dire qu’il est mort pour rien.
from the sacred to the ridiculous?
does the author suggest that the allmighty allah and the divinity need protection by the puny brains of the tunisian parlement.
I might as well suggest to you to form a private security firm and take the position
of a bouncer/body guard to god and the divinty.
how empty can your mind be and the futality
in your intellectual gymnastic.
on one hand allah is supposed to have created
all things small and big …. than suddenly
he has a need to be protected with his divinty.
did he ask the author or is it your hallucination?.
allah needs the ayotallohs as gate keeper,mofties as spokesman,salafists as the fanatic supporters and why not arfaoui as a body guard or earthly tactition.
what is devine in your eyes is vanity to others
dear author.
the void in the tunisian intellectual domain is so huge that it gave rise to the wanna be
lots of room to flaunt some hot air.
the twits on earth never cease to amaze us
but the tunisian psedo intellect are going beyond the joke.
if the author article was verbal i might
describe at best a nonsensical global warming.
don’t take it personal?
my attack is only concerning the suggestion
of what you wrote.
Allah does not need protection. If you read well you would have realized that I suggested that that was a vain argument. Allah on the other hand, chose to give as freedom: There is nobody to force you or me to venerate anything. It is all about choice and the choice of the great majority in Tunisia is clear. This means that you can curse in your house and behind fake names, but the public domain belongs to the majority. ;)
allah gave us freedom?
how has that happened?
did he take a stroll with you on the corniche
and told you i gave freedom to every one.
is it a claim or is it your interpretation?.
well then:
another prophete is born among us now?wow.
how come millions are still in jail for their opinions…..has allah forgot about them?.
bouazizi has he known that allah gave him freedom….he may have taken another course of action.
Et oui ! Pendant que la petite bourgeoisie intellectuelle la plus proche de l’Europe et la petite bourgeoisie intellectuelle salafiste occupent la scène politique de leurs fétichismes culturels croisés, la question sociale disparaît. Et pas besoin de lois pour préserver l’ordre économique, le tabou sur les salaires de misère, la parodie de législation sociale… Les “salafistes” n’en parlent pas, pas plus que les “artistes” : deux faces d’une même médaille, ils ne peuvent exister médiatiquement les uns sans les autres.
Really, nobody to force you or me to venerate anything in so called muslim countries ? You need to read news, specially in those days of ramadan. They all go crazy.
En Algerie, une chanteuse libanaise CHRÉTIENNE a été arrêtée pour ne pas avoir “respecté” le jeûne. En tout une centaine d’algériens ont subi le même sort. Le Maroc ne déroge pas à la règle, lui qui a institué la pratique du ramadhan dans la loi.
Totalement d’accord avec Son of Carthage, il faut que ce Dieu et cette religion soient bien vacillants, et la foi si faible pour compter sur la justice des hommes pour s’imposer.
Mais après tout tu as raison, personne ne nous oblige à croire, seulement à faire semblant, en montrer l’apparence à défaut de conviction.
Lire ou relire “les identités meurtrières” de Malouf pour toucher du doigt où se situe le problème des sociétés musulmanes.
Et constater avec Barjavel (“la faim du tigre”) que la religion a été préemptée par les clercs qu’ils soient ensoutannés ou barbus. La foi est un chemin personnel vers Dieu quel que soit le chemin qu’on prend or ces clercs nous embarquent dans un bus se sont autoproclamés chauffeurs et se disputent l’itinéraire.
En attendant nous sommes coincés dans ce bus à l’arrêt.Et nous avons oublié le chemin et où nous allons.
C’est ce qu’on appelle la transition démocratique. Les Questions fondamentales et sociales ont été réduits au silence sous Ben Ali! Nous étions des moutons! La révolution a permis cet éveil des questions sociologiques qui me semblent indispensables pour savoir ce que nous voulons, comment nous le voulons et à quoi nous aspirons! Ne me parlez pas d’Ennahda, de constitutions et tout le tralala quotidien, car je ne vous parle pas de politique , je vous parle de démocratie sociale qui est belle et bien présente, et qui à mon humble avis est quelque chose d’encourageant même si cette démocratie est fortement hésitante du coté des bureaucrate
+ 1000 :-)
La liberté d’expression est sacrée, toute atteinte à cette liberté se soldera par 2 ans de prison, et 4 pour les récidivistes…
Trève de plaisanteries, on ne peut que constater combien c’est tragique qu’une école “pilote” de Tunisie a pu produire comme anti-intellectuels…
Vous oubliez, le United World College de l’adriatique, le baccalauréat internationale… En plus, mon article visais à chercher les mécanismes protégeant ces libertés.
TROP DE RELIGION TUE LA RELIGION,vous nous faite caguer avec votre religion de ….???
“En plus, mon article visais à chercher les mécanismes protégeant ces libertés.” Les libertés de qui ? Des salafistes qui ont détruit les œuvres de la Marsa ?
Qui sème le trouble ? Celui qui peint ou celui qui ne supporte pas que l’autre peigne ?
C’est démoralisant de lire des articles comme celui-ci. Essayer d’intellectualiser le bien fondé de l’islamisation du droit et de la société tunisienne…
A quand le blasphème pour celui qui aura dit que c’est l’homme qui est complémentaire de la femme ?
Mais Jean Baptiste ne vous en déplaise sémantiquement L’homme et le complémentaire de la femme et vis-versa! Autre chose: linguistiquement parlant cette phrase qui fait tant de scandale est plus correcte! La grande majorité des femmes n’aspire pas à avoir des bijoux de familles! Bien sur que la femme aspire à être égal en droit, mais surement pas hermaphrodite ne vous en déplaise!
Il ne faut pas taper trop fort sur Mr. Arfaoui, il n’a que 20 ans !, c’est vrai qu’il a écrit sur un sujet très controversé (particulièrement depuis l’invasion des talabanis/ salafistes sur les pas de sidi Ghannouchi) et dont apparemment il ne sait pas beaucoup ; mais, et sans condescendance aucune, son jeune le lui fait pardonner. Il faut bien commencer quelque part !
Mon conseil pour lui est de lire – critiquèrent – beaucoup… les articles sur le site Alawan.org sont excellents. Ils sont écrits par les meilleurs écrivains, critiques, penseurs, du courant hadathi (moderniste/ rénovateur) du monde arabe. Il y a quelques autres comme alhewar et metransparent… Bonnes lectures :-)
Bonjour,
Protéger le sacré par une loi ?
Protégeons plutôt la liberté de penser et de pratiquer toutes les religions…et alors la Tunisie enverra un message fort de tolérance et de rèelle démocratie au reste du monde.
frederic frederic ,le monde a besoin d un message foooort venant de la tunisie selon vous??????????????.
Je ne savais pas que nous etions si pretentieux!!!.
Petit flatteur va.
Perso jai appris a me mefie des flatteurs.
A bon entendeur.
Nazou, rien avoir avec la flatterie mais juste avec la bonne intelligence de vivre ensemble et de faire taire les mauvaises langues …
Quant à se méfier des flatteurs je suis d accord surtout lorsqu ils utilisent le prétexte de la religion pour semer ” la bonne parole”. Nous verrons bien en 2013…tous aux urnes.
Bonjour Frédéric,
Voici un article, une analyse que je partage entièrement. J’espère que cela sera avant «50 ans» :
«Préparons notre sortie définitive du religieux» DEBATunisiehttp://bit.ly/PUJ0EH
Le lien seul :
http://bit.ly/PUJ0EH
Enfin, j’ai goûté à cette cacahuète… et je la partage
http://bit.ly/R9URxf
firas arfaoui was here :)
BaT